Il fut mis d’abord en pension rue Neuve-Sainte-Geneviève, chez un ancien oratorien, l’abbé Roche, qui passait pour janséniste. […] Elle lui avait adouci ses aspérités et à la place y avait mis du savoir-vivre. […] Ampère donc, tout en continuant de professer son cours, se découragea de le rédiger et d’y mettre la dernière main pour le public des lecteurs. […] Quand de telles ardeurs le prenaient, il n’y avait pas à se mettre en travers : il eût tout renversé. […] Il y met du point d’honneur et en fait son affaire personnelle.