« Si jamais il arrive », s’écrie-t-il, « que ce poème sacré, auquel ont mis la main le ciel et la terre, et qui pendant tant d’années m’a exténué de maigreur, triomphe de la cruauté de ma patrie, qui me relègue hors du beau bercail où je dormis petit agneau, ennemi des loups qui lui font la guerre ; avec une autre voix alors, avec un autre vêtement reviendra le poète, et sur les fonts de mon baptême je prendrai la couronne !