La nature physique, cachée et opprimée sous des habitudes de réflexion mélancolique, se met à nu pour un instant. […] Il doit mettre le nez au vent pour regarder quelle sorte de temps va venir. […] Il met cette littérature au premier rang. […] Là où Hegel mettait une idée, Carlyle met un sentiment héroïque. […] Parce que les Kalmoucks mettent des prières dans une calebasse que le vent fait tourner, ce qui produit, à leur avis, une adoration perpétuelle.