Vous m’avez fait mettre la main à la plume ; tant pis pour vous, je ne la quitterai pas que je n’aie tout dit. […] Le système conservateur du théâtre devait être mis de niveau avec le système conservateur du cabinet. […] Le malheureux, il avait mis le pied à bord du Bellérophon. […] Je n’ai pas mis le pied à la Comédie française depuis trois ans. […] Mais je ferai observer que ce n’était pas moi qui m’y mettais, mais M. de Rémusat lui-même qui m’invitait à m’y mettre.