À mesure qu’il devient naturaliste, il l’abandonne ; il ne le suit déjà plus pour les oiseaux, il ne le suit plus du tout pour les singes. […] Elle est dans ces soudaines inspirations qui si souvent l’entraînent hors de son siècle et parfois le portent en avant du nôtre, dans les éclairs de sa pensée, dont la lumière, au lieu de s’affaiblir avec la distance, semble se projeter plus éclatante à mesure qu’elle atteint un plus lointain horizon.