Thiers, durent l’ajourner, le rentrer en eux et n’étaient pas en mesure de l’arborer au début, c’est-à-dire quand il était temps. […] Dès à présent, et comme on n’a pas tout à fait oublié d’ailleurs ce qui s’est passé ensuite, on est en mesure, ce me semble, de répondre à la première question que je me suis posée : Quelle idée peut-on se former, d’après cette seule lecture, du régime politique que l’ouvrage est destiné à justifier ou même à glorifier ?