Là des peuples taris ont laissé leurs lits vides ; Là d’empires poudreux les sillons sont couverts ; Là, comme un stylet d’or, l’ombre des pyramides Mesure l’heure morte à des sables livides Sur le cadran nu des déserts ? […] La beauté dans les œuvres de l’homme ne se mesure pas, elle se sent. C’est à la sensation qu’on mesure la grandeur.