Cupidon est un mauvais drôle De rendre ainsi les pauvres femmes folles. […] Ce livre exhale toute l’amertume, les mille qu’éprouva un intellectuel dans ce chaos européen, et, chose curieuse, au lieu d’accuser les dirigeants, les peuples, les hommes, d’être la cause de cette immense calamité, il s’en prend à lui-même, il fouille son propre cœur, il se déchire, comme jadis les grands prophètes, et il trouve là le germe de toutes les mauvaises actions.