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13. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Millet Francisque » p. 168

La condition du mauvais peintre et du mauvais comédien est pire que celle du mauvais littérateur. […] S’il y a une autre vie, ils y seront certainement châtiés pour cela ; ils y seront condamnés à voir ces tableaux, à les regarder sans cesse, et à les trouver de plus en plus mauvais.

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