Arbres lourds, mauvais ciel, à l’ordinaire ; pauvre paysage. […] Le ciel est un des plus mauvais, des plus lourds de l’artiste ; c’est un gros quartier de lapis-lazuli à couper avec le ciseau d’un tailleur de pierre, on peut s’asseoir là-dessus, cela est solide, jamais corps ne divisera cette épaisseur en tombant ; point d’oiseau qui n’y périsse étouffé.