Elle n’en était pas plus mauvaise pour cela ; c’était la forte et sobre éducation, très pieuse, mais très peu jésuitique, qui forma les générations de l’ancienne France, et d’où l’on sortait à la fois si sérieux et si chrétien. […] J’avais un oncle voltairien, le meilleur des hommes, qui voyait cela de mauvais œil. […] Un hymne guerrier en strophes saphiques et adoniques fut trouvé moins mauvais.