C’est un humour de la matière, scatologique pour le dehors. […] Flaubert gardera toujours la hantise de la matière décomposée, du glissement vers la destruction. […] Le monde ne lui a paru mériter qu’il y vécût qu’en tant qu’il était ou pouvait être objet de littérature, matière à style. […] Il est naturel que la matière figure le point final et la tentation suprême dans cette œuvre épaisse, capiteuse et violente qui a tout pris par le côté de matière. […] à ce qu’il en trouve l’achèvement dans la matière.