Un sermon devient la matière de plusieurs. […] L’abbé Goujet prétend que ces deux ou trois parties qui divisent communément un sermon, n’empêchent point d’en faire un tout régulier & bien suivi, d’approfondir les raisonnemens, de varier la matière. […] On se fait une espèce d’honneur de l’indifférence sur cette matière, & dans peu les prédicateurs seront réduits à la nécessité de faire en chaire le catéchisme .