La stérilité relative de Mallarmé vient de ce qu’il ne trouva quoi chanter, et ce qu’il chanta ce fut précisément ce manque, ce défaut d’être. […] On peut goûter le vers libre déjà réalisé et avec foi dans son avenir ; mais ce goût ne se transmet encore que difficilement à l’oreille commune, et j’avoue que l’on manque de raisons convaincantes pour légitimer cette foi, qui est la mienne. […] Nous continuerons donc à manquer d’un livre d’ensemble sur le symbolisme.