— On pourrait penser qu’il doit nécessairement exister quelque distinction essentielle entre les espèces et les variétés, et qu’il ne peut manquer de s’être glissé quelque erreur dans les observations qui précèdent, puisque les variétés, quelque différentes qu’elles soient les unes des autres dans leur apparence extérieure, croisent avec la plus grande facilité et donnent une postérité parfaitement féconde.