le triste empire des lettres, pour manquer d’empereur reconnu et de princes, n’est point davantage une république ! […] Mais nos auteurs manquent trop de santé pour s’assimiler leur œuvre sans risques.
le triste empire des lettres, pour manquer d’empereur reconnu et de princes, n’est point davantage une république ! […] Mais nos auteurs manquent trop de santé pour s’assimiler leur œuvre sans risques.