Et ainsi ce qui est pour l’homme de science un moyen de voir, n’est plus aux mains du littérateur qu’une manière de voir. […] Notre manière de participer à la vie scientifique, la seule qui ne trompe pas, c’est de développer en nous l’esprit scientifique. […] Nous aussi, quand nous cherchons à retrouver la vie sentimentale du XVIIIe siècle, ou les manières de penser de la Renaissance, nous poursuivons l’image d’un passé qui n’est plus.