Bien citer, quand il s’agit de ces vieux poëtes, c’est les faire apprécier de la meilleure manière, c’est déjà les juger soi-méme avec sagacité et discernement. […] L’auteur, par quelques lignes pleines de grâce et de fine malice, a raison de se rendre à lui-même, en finissant, ce témoignage que dans sa tâche, plus méritoire pourtant qu’il ne veut bien le dire, il a réussi comme il l’entendait ; en se livrant, non sans complaisance, aux douceurs presque paternelles de la propriété, il aura servi d’une manière durable la littérature.