Ponocrates laisse donc le jeune Gargantua suivre quelque temps son train accoutumé, et Rabelais nous décrit cette routine de paresse, de gloutonnerie, de fainéantise, résultat d’une première éducation mal dirigée. […] Il n’est pas mal de s’y être accoutumé de longue main par l’éducation, et qu’on ait eu à y sentir de bonne heure le poids des choses. […] Je me repens d’avoir dit autrefois trop de mal de lui.