Le vrai ne l’intéresse qu’en tant qu’il est le bien ; le faux qu’en tant qu’il est le mal. […] Le secret de ces misères infinies, qu’il devait peindre avec tant de vérité, il le connut par ses propres maux. […] Quels maux de l’âme peut-elle guérir ? […] Quel mal a-t-elle laissé sans guérison ? […] La candeur du père ajoute à l’énormité de la morale qu’il professe ; ses aveux chargent d’autant plus sa compagnie qu’ils sont moins d’un complice sachant qu’il fait mal, et s’en vantant, que d’un homme engagé, sans s’en douter, dans une doctrine criminelle.