L’Abbé de Montreul avoit l’esprit orné, naturellement porté à la galanterie, & n’écrivoit pas mal en vers & en prose. […] On peut en juger par ceux-ci : Ne me demandez pas, Silvie, Quel est le mal que je ressens ; C’est un mal que j’aurai tout le temps de ma vie ; Mais je ne l’aurai pas long-temps.