Mais le bon sens aussi a ses humbles avantages, et celui de Sismondi relevait tout aussitôt le mal à côté du bien, l’inconséquence et l’incohérence de la seconde partie de cette Monarchie, qui était encore plus selon les ultras que selon la. […] La Fare regrettait la Cour de la première Madame et soutenait que, depuis cette mort, en fait de politesse, tout allait de mal en pis. […] J’avais vu que tout était prêt pour l’explosion… Les paysans accouraient au-devant de moi ; ils me suivaient avec leurs femmes, leurs enfants, tous chantant des rimes, improvisées pour la circonstance, dans lesquelles ils traitaient assez mal le Sénat. […] Aussi j’arrivai en Toscane avec du respect pour le culte catholique, avec la croyance que le bien que faisait cette religion l’emportait de beaucoup sur le mal… » Il fut obligé d’en rabattre après avoir vu de près l’intolérance maîtresse chez soi et à l’œuvre. Dès qu’on ne l’a plus sous les yeux avec les maux qu’elle engendre et les abus qu’elle éternise, on revient volontiers à une appréciation plus favorable d’une institution qui a eu sa grandeur historique et qui a produit tant de personnages éminents.