« — Mais, reprit Dionysodore, le bien n’est-il pas bien, et le mal n’est-il pas mal ? […] « — Les honnêtes gens disent donc mal le mal, puisqu’ils disent les choses comme elles sont ? […] Quelques-uns se plaignent aussi que la vieillesse les expose à des outrages de la part de leurs proches ; enfin ils l’accusent d’être pour eux la cause de mille maux. […] « — Mais celui qui vit bien est heureux, celui qui vit mal est malheureux ? […] « Tous ces maux seront nécessairement prévenus.