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355. (1826) Mélanges littéraires pp. 1-457

elle est presqu’effrayée de connaître ses propres maux. […] Prenez courage ; la vengeance offre un remède à vos maux. […] C’est à la fois un bien et un mal : un mal en ce que cela dégoûte l’écrivain dont on fane la fraîcheur, et dont on rend l’originalité vulgaire ; un bien quand cela sert à répandre des vérités utiles. […] Elles ne sont que la cause des maux dont l’erreur est le principe. […] Quand le despote est faible, ou quand à force de maux il a poussé à bout ses esclaves.

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