La Décade, organe des plus purs amis de Mme Roland, s’exprimait en ces termes par la plume de Ginguené : « Dans les portraits, il y a quelquefois de la justesse, quelquefois des peintures hasardées et même fausses, et souvent une exagération soit en bien, soit en mal, qui peut mécontenter les amis de ceux que l’auteur loue, presque autant que les amis de ceux qu’elle censure.