C’est à cette laide affaire que sir Henry Bulwer fait allusion dans une note où il est dit : « Quant à ses habitudes à cet égard (à sa manière de s’enrichir), il ne sera peut-être pas mal d’avoir recours à la correspondance américaine, Papiers d’État et documents publics des États-Unis (t. […] Mais un nouvel intérêt commun fait passer aisément l’éponge sur d’anciens griefs et rapproche vite les politiques ; on ferma les yeux des deux côtés : « Talleyrand craignait d’être mal reçu de Napoléon. […] Il a bien réellement introduit le texte français primitif ; « mais, ajoute-t-il, c’est que M. de Talleyrand écrit très mal pour son compte, quand il n’a pas d’auxiliaire et de secrétaire. » Je ne suis pas aussi absolu, et je crois qu’il y a à distinguer.