Mariant ainsi cette culture d’esprit aux soins les plus réguliers de sa famille et de sa maison, elle prétendait que cela s’entr’aide, qu’on sort d’une de ces occupations mieux préparé à l’autre, et elle allait jusqu’à dire en plaisantant que d’apprendre le latin sert à faire les confitures. […] Rien n’est mieux pris sur le fait que le mal et l’idée fixe d’Ourika, une fois éclairée sur sa couleur : « J’avais ôté de ma chambre tous les miroirs, je portais toujours des gants ; mes vêtements cachaient mon cou et mes bras ; et j’avais adopté, pour sortir, un grand chapeau avec un voile que souvent même je gardais dans la maison.