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622. (1891) Essais sur l’histoire de la littérature française pp. -384

Géruzez et ceux qui sont de son école n’ont précisément qu’un défaut grave : c’est de se plaire si fort à la maison que rien ne saurait les en tirer. […] Jamais peinture de femme sans résignation, « avec sa maison trop étroite et ses rêves trop hauts », n’a été plus terrible. […] Il avait un extérieur agréable, un corps robuste, de l’esprit, de la fortune, deux ou trois charges d’importance, une maison de ville entre cour et jardin, une maison des champs où il réunissait bonne compagnie. […] Telle qu’elle est cependant, elle est bien de la maison de Regnard, sage, modérée, spirituelle, sensée, tendre avec discrétion, indulgente, sincère. […] Là, toute la maison s’offre à me faire fête, etc.

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