Les maisons d’éducation publique doivent faire les progrès de la population ; la multitude de ces établissements serait une espèce de calamité. […] Au sortir de ces petites écoles, ces jeunes enfants ou se renfermeront dans la maison paternelle pour y apprendre quelque métier, ou se présenteront aux collèges de l’Université dont j’ai tracé le plan et dont je vais esquisser la police.