À la ferme de Lochlea, pendant les heures de repas, seuls instants de relâche, pères, frères, sœurs, mangeaient une cuiller dans une main, un livre dans l’autre. […] Lord Byron s’exila sous la même contrainte, et quand il partit, ses amis craignirent que la foule assemblée autour de sa voiture ne portât les mains sur lui. […] La première fois qu’il put mettre la main sur un des grands cors de guerre qui servaient aux borderers, il en sonna toute la route. […] Y a-t-il un port qu’il puisse atteindre, et une main cachée qui le conduise vers ce port ? […] Elle entre en même temps dans les deux camps contraires, et semble défaire d’une main ce qu’elle a fait de l’autre main.