il l’avait sous la main, il la laissait dormir. […] Nous étions seuls. — J’ai pris ses deux mains dans les miennes. […] Elle dort toute nue et la main sur son cœur. […] Est-ce qu’un pli de rose aurait froissé ta main ? […] un ami, pour t’arracher aussi d’une main impitoyable quelques pages qui sont du talent, mais qui ne sont pas de la gloire ?