” leur criai-je, “daignez venir nous parler, si cela vous est permis par le souverain maître de ce séjour ! […] Ton maître, qui est là avec toi, le sait, lui ! […] Je m’arrête à quelque distance, sans être aperçu même du chien, attentif à l’instrument de son jeune maître. […] L’âme bucolique de Virgile, son maître, semble véritablement cette fois avoir passé en lui. […] peuple qui devrais être plus dévoué à ton vrai maître et laisser ton César s’asseoir sur ta selle, si tu comprenais mieux ce que Dieu veut de toi !