» Tel est, en effet, — caractérisé en maître et par un maître, — ce chef-d’œuvre si particulier de Roméo et Juliette, dans lequel Shakespeare, le Michel-Ange anglais, a, pour la première fois, vaincu Corrège. […] La combinaison était au fond, et encore plus au fond la conscience du grand maître qui se juge tout en produisant ! […] Mais, disons-le pourtant, à côté de cette préoccupation qui n’est pas singulière du tout et qui est d’un bon fils qui voit partout la politique de papa, comme cette pauvre servante de curé voyait jusque dans la lune les humbles culottes de son maître, j’ai trouvé dans cette introduction nouvelle de François Hugo une indépendance et un détachement de-son auteur qui m’ont fort étonné dans mon jeune Bouddhiste shakespearien et qui m’ont causé un plaisir encore plus vif que la surprise.