Il était tout Breton, puisque celle qui l’inspirait avait grandi dans la lande, et que celui qui l’éprouvait y mêlait du vague et le goût de la mort. […] C’est à dessein qu’il a mêlé l’ironie à la tendresse, la brutalité à l’idéalisme.
Il était tout Breton, puisque celle qui l’inspirait avait grandi dans la lande, et que celui qui l’éprouvait y mêlait du vague et le goût de la mort. […] C’est à dessein qu’il a mêlé l’ironie à la tendresse, la brutalité à l’idéalisme.