comme si celui qui possède toutes les durées et tous les espaces s’était complu à accumuler des myriades d’êtres animés et aimants dans un cirque étroit et muré de ses éternités et de ses mondes, afin de jouir de cette affreuse mêlée de sang, de ce combat sans trêve et sans fin de gladiateurs acharnés tous armés d’une arme mortelle pour tuer, tous pourvus du sentiment de leur conservation et de l’horreur de la mort pour bien savourer la douleur et l’agonie de la mort !