Si l’ouvrage avait quelque mérite, l’auteur en faisait une lecture chez un connaisseur en titre. […] Jusqu’ici, il est vrai, la politique, qui a tout envahi, a écrasé l’art, et ne lui a pas fait dans l’ordre nouveau une place large, commode, splendide, telle qu’il la mérite et telle qu’il l’aura.