Et tu vois dans l’avenir « toutes les générations à genoux et demandant à la mémoire du supplicié glorieux le pardon du crime de leurs pères ». […] » Il ne sent pas, l’inconscient, que sottise et maladresse peuvent aller jusqu’au sacrilège et que ses doigts grossiers salissent la mémoire de son père. […] Vous méprisez notre « paganisme philosophique » qui, oubliant le centre unique de notre âme, se perd dans la divergence inexpliquée des rayons et ne sait, grotesque collectionneur, que classer et étiqueter « les phénomènes de la volonté, de l’amour, de la mémoire ».