Nulle mémoire, en effet, autant que celle de M. […] Oui, nous la conserverons, la République, s’écriait-il en finissant, nous la conserverons pour qu’elle soit le temple de ta mémoire, l’asile de ton vertueux père, et la gloire de tous les guerriers qui l’ont défendue comme toi. […] — Ce mémoire donnerait une fausse idée des opinions philosophiques de l’auteur, si l’on y voyait des conclusions expressément déistes. […] Il suffit que la France adore ta mémoire ; Elle est juste envers toi, puisqu’elle te chérit : Ton éloge en nos cœurs est assez bien écrit. […] Tome XV des Mémoires de l’Acad. des Inscriptions et Belles-Lettres.