ma mémoire est fatiguée. — N’avons-nous point de vin ici263 ? […] — Oui, pauvre ombre, tant que la mémoire aura un siége — dans ce monde détraqué. […] — Oui, du registre de ma mémoire, — j’effacerai tous les tendres souvenirs vulgaires, — toutes les maximes des livres, toutes les empreintes, tous les vestiges du passé. — Et ton commandement seul y vivra. — Ô traître !