« Charles-Édouard, depuis ce temps, nous dit l’historien, se cacha au reste de la terre. » Plût à Dieu pour lui, pour l’honneur de sa mémoire, qu’il se fût en effet caché et dérobé à tous ! […] J’emprunte ce récit à Dutens (Mémoires d’un Voyageur qui se repose, tome II, page 125).