Sa mère avait le génie grave, ambitieux et sectaire de ces princes de la maison de Guise, véritables Machabées des papes et du catholicisme de ce côté des Alpes. […] Marie Stuart, déjà d’un sang fanatique par sa mère, prit dans ces supplices infligés par ses oncles aux hérétiques l’âpre superstition des presbytériens. […] Elle y apprit bientôt après la mort de la reine d’Écosse, sa mère.