Cette jeune fille orpheline, vierge et mère, car elle élevait dix enfants, — ses frères et ses sœurs, — fit éprouver à Wolfgang Goethe ces deux minutes de passion par lesquelles tout ce qui a une nature complète doit passer pour devenir un homme. […] Ils s’étonneront avec la candeur (aussi) qu’ils tiennent de leurs mères, de tout ce que Paul de Saint-Victor a découvert dans leur Goethe.