Il a eu le culte de ce père (le docteur Larivière de Madame Bovary) et de cette mère. […] Il continuait à vivre dans sa thébaïde de Croisset, avec une mère assez silencieuse et mélancolique. […] Quand sa mère et sa femme se disputent, « Charles ne savait que répondre ; il respectait sa mère et il aimait infiniment sa femme ! […] Lui-même dit que sa mère en avait été révoltée comme d’une injure faite à toutes les femmes. […] Voici la maison de sa tante Albais (Mme Aubain), le petit pensionnat d’Honfleur où sa mère avait été élevée quelque temps, les deux fermes de sa mère près Pont-l’Evêque, Gustave et sa sœur Caroline, qui s’appellent ici Paul et Virginie.