Elevé par une mère, par des sœurs très tendres, la maison où a vécu Lamartine, c’est le cadre rêvé à souhait pour une enfance heureuse. […] Car Racine, qui s’y connaissait en fait de sentiments et de passions, n’a jamais connu sa mère. […] On me dit une mère, et je suis une tombe. » Ainsi, l’homme est seul au milieu de cette nature insensible qui est pour lui une tombe ; non pas une mère, mais une marâtre. […] L’aînée sert de mère à la cadette ; elle la conduit à l’école, et, avant que la cadette entre à l’école, l’aînée… Mais vous allez voir ce que fait l’aînée : Les deux petites sont en deuil, Et la plus grande, c’est la mère, A conduit l’autre jusqu’au seuil Qui mène à l’école primaire. […] Ô mères, coupables absentes, Qu’alors vous leur paraissez loin !