Je t’aimais dans le sourire de ta mère qui t’attendait. […] » Oui, mais la mère en meurt, la mère bêlante et gémissante. […] Au milieu de cette idylle tombe naturellement la mère. […] Isabelle, la fille des Raguais, vit avec sa mère et passe un mois, tous les ans, avec son père. […] La mère sourit ; puis le nom fatal arrive.