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287. (1888) Études sur le XIXe siècle

« Je ne vous écris jamais, ma chère mère, et le fais maintenant pour vous troubler par une prière. […] “Que penseraient de moi votre père et votre mère ?” […] J’avais devant moi la mère de mes fils, que j’aimais tant, un cadavre !… Ils me demandèrent des nouvelles de leur mère à notre première rencontre. […] Souvent la fortune des femmes coûte plus cher aux maris que la pauvreté, tandis que le pain et l’amour suffisent toujours… Ta mère, elle-même… « — Ma mère, fit le jeune homme en rougissant un peu, ne sait encore rien pour le moment.

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