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1119. (1864) Cours familier de littérature. XVII « Ce entretien. Benvenuto Cellini (2e partie) » pp. 233-311

« À peine fus-je descendu de cheval qu’une de ces bonnes personnes qui veulent toujours mettre le feu aux étoupes vint me dire que Miceri avait loué un appartement pour Catherine et sa mère, et qu’il ne les quittait point ; qu’en parlant de moi il s’égayait en disant : Benvenuto a mis de la graine devant les oiseaux, et il a cru qu’ils n’y toucheraient pas. […] Je trouvai la porte entr’ouverte ; je le vis avec une épée et un poignard à son côté, assis auprès de sa belle et de sa mère, et j’entendis qu’ils parlaient de moi. […] La plus jeune d’entre elles, mariée et mère de famille à Florence, le logeait, le nourrissait, l’aimait et lui faisait goûter l’affection de ses nièces.

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