Combattez chaque jour votre mère la nature ; arrachez lui ses forces. […] C’est la mère douce aux cheveux blancs dont tu es né. […] La Mère tricotait, béate. […] mon bon Monsieur, répondit la Mère, je ne sais pas lire. […] Mais la Mère mirant le ciel noir où des étoiles clignotaient ironiquement s’écria : « Les astres me saluent !