Tout cet azur, ces flots de lumière et de couleur, ces fonds d’or et bleu de ciel, qui étaient habituels à sa poésie, et qu’il transporte, en les voilant à peine, dans sa prose, pouvaient-ils se mêler impunément à des tableaux tels que ceux qu’il avait à offrir ? […] Mais enfin il a beau faire et se vouloir métamorphoser, les tons dominants et primitifs chez lui sont encore des tons d’éclat, d’harmonie et de lumière. […] Le front élevé était un peu trop incliné en arrière comme une muraille qui s’affaisse, mais la lumière y jouait comme l’intelligence dans un espace large et bombé.