Ô sculpteur, le beau et le laid se pétrissaient en lumière sous ta main. […] À la lumière, l’obscénité transparaît. […] L’heure est encore indécise, semblable à ces heures troubles du crépuscule, où de larges nappes d’ombre et de lumière se disputent l’étendue. […] « Ainsi l’art serait renouvelé à la fois par l’ardeur et par la lumière. » C’est le rêve d’un noble esprit ; j’ai peur que ce ne soit jamais qu’un rêve.